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TIERRAS

                          PROMETIDAS

CHRONICAS DE PUEBLOS

PETROLEROS AMAZONICOS

EL EQUIPO

ATRAS DE LA CAMARA

Magali realizo un primer trabajo de investigacion con el programa MONOIL en 2013, en el marco de su practica de fin de estudios. Asi, desarollo su interes por la historia de los pueblos de Pacayacu y Dayuma, los cuales son sitios de estudio del programa.

 

Thomas esta graduado de la escuela de Bellas Artes, y realizo entre otro diferentes proyectos documentales fotos y videos en America Latina. (www.thomascorrea.org)

 

Poniendo en comun las experiencias de cada uno, nacio la idea de realizar una pelicula documental sobre el quotidiano de los "migrantes" que vinieron en los teritorios petroleros de la Amazonia ecuatoriana.

 

La concretisacion del proyecto a sido posible gracias al apoyo del programa MONOIL, de la asociacion MASHIKUNA y de todos los contribuidores que se comprometieron en la plataforma ULULE. El rodaje se empezo en Agosto 2014 y se acabo en Octubre.

LA EDICION DE LA PELICULA

Nous avons entammé depuis le mois de mai la première partie de la post-production, qui s'annonce excitante! La post-production c'est l'étape d'après le tournage, elle même constituée de plusieurs moments: synchronisation du matériel audio et vidéo du tournage, visionnage des rushs, transcriptions des entretients et interviews, tri et hierarchisation du matériel, montage, mixage son, création sonore et musicale, sous-titrage, retouche colorimétrique (dit étalonnage) et enfin export pour une diffusion cinéma. Bref, c'est la dernière étape d'un film, là où les décisions de narration et d'esthétique définiront le style du film. A chaque étape interviennent des techniciens spécialisés.

 

Pour l'heure, nous effectuons le montage dans notre propre home-studio de montage, à Toulouse. Quand nous aurons posé une première version du documentaire, nous collaborerons avec un monteur afin d'améliorer la narration et la dynamique du récit, un ingénieur du son pour équilibrer et perfectionner tout l'environnement sonore du film, un compositeur/créateur sonore, un etalonneur pour préciser l'esthétique de l'image et un graphiste pour créer les titrages, les animations et le générique du film. Votre contribution nous permettra d'en assurer une partie des frais, mais c'est aussi l'appui de la région Limousin qui nous permettra de rémunérer chacun des intervenants.

 

Nous avons entre nos mains un peu plus de 110 heures de rushs (!) que nous traitons, pas à pas, car nous devons tout considérer avant d'effectuer un premier tri. Parmis ce matériel il y a plusieurs heures d'interview de chacun de nos personnages, des portraits des agriculteurs, des interviews audio des pétroliers rencontrés le soir dans les villages, des heures de patiente observation des flux de travailleurs, de camions, des usines, des machines et tuyauteries que l'on peut rencontrer partout dans la zone. Des histoires de vie, de travail, de migrations, et des perspectives d'avenir.

 

Les interviews des pétroliers n'ont pu être filmés, car ceux-ci craignent pour la sécurité de leur emploi, et ont tous préfèré l'anonymat. Alors, nous utiliserons leurs témoignages en voix-off, sur des images d'observations de leur quotidien que nous avons effectué dans ces deux villages : du lever du jours dans leurs hotels, au cheminement dans les rues du villages pour se rendre aux cafétérias, aux bus qui les transportent sur leurs lieux de travail, jusqu'au campements dans lesquels ils logent, et attendent la journée suivante. Ceci ponctuera le film, passant de la vie des résidents locaux, majoritairement agriculteurs et commercants, à celle des habitants passagers, les pétroliers, venu des quatre coins du pays pour des sessions de travail de 7 à 15 jours continus.

 

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